
Objectifs:
- dégager les différentes étapes qui mènent à la fin du récit.
- réinvestir ses connaissances dans un exercice d’écriture.
Support: chapitre 17, p.2O9 à 217.
Première étape: Observer, découvrir…
- Comment appelle-t-on la fin d’un roman ?
- Comment trouvez-vous cette fin de roman ?
Deuxième étape: Expliquer…
- Peut-on considérer que l’auteur laisse le dernier mot de l’histoire à l’illustrateur? Expliquez votre réponse?
- Quelle fonction le montage photo a-t-il dans le dernier chapitre ?
- Choisissez un des souvenirs visuellement présent, ou bien un souvenir qui n’est pas dans le montage photo, et expliquez pourquoi il est votre préféré.
- Quelle est la dernière jolie surprise du texte ?
Troisième étape: Approfondir…
Quand Chuck déclare : « À propos de M. Edgar, je crains qu’il ne soit irremplaçable, mais je pourrais profiter de ma petite notoriété pour reprendre son combat et défendre la cause, chez nous, chez les humains. », qui reconnaissez-vous derrière ce personnage ?
Mise en commun de nos réflexions communes
On appelle souvent la fin d’un roman un épilogue, en particulier quand celui-ci s’ajoute à la fin, pour apporter une forme de conclusion.


L’illustration clôt le roman, comme si finalement l’auteur permettait à l’illustrateur d’avoir le dernier mot. De plus, alors que toutes les illustrations sont extrêmement fidèles au texte, nous l’avons vu, ici, elle dépasse le texte puisqu’elle montre Carole et Jefferson partir ensemble, alors que cela n’est que suggéré dans le texte.
Le montage photo permet de rappeler tous les bons moments du texte. L’auteur fait souvent des rappels des événements, comme lorsque Gilbert redonne tous les éléments de l’enquête. Sans doute veut-il donner au lecteur l’occasion de se remémorer tous ces événements.
La dernière surprise est la présence de Chuck, dont on découvre pour l’occasion qu’il n’est pas un personnage de fiction, mais une personne réelle !
Quand Chuck déclare : « À propos de M. Edgar, je crains qu’il ne soit irremplaçable, mais je pourrais profiter de ma petite notoriété pour reprendre son combat et défendre la cause, chez nous, chez les humains. », on reconnaît Jean-Claude Mourlevat derrière ces lignes puisqu’il est écrivain et qu’il a utilisé la reconnaissance dont il bénéficie pour défendre la cause animale.